Sainte-Anne
Notre équipe a entrepris une rénovation partielle de cet appartement idéalement situé près de la place Sainte-Anne à Rennes.
La chambre enfant a été aménagée avec un lit mezzanine, tandis que la chambre parentale a été métamorphosée en intégrant un espace bureau, marquant ainsi la seule réelle modification apportée aux volumes d’origine.
La cuisine et la salle de bain sont demeurées intactes, seuls le dégagement, les chambres et le salon ont été repensés.
L’atmosphère qui règne dans cet espace est empreinte de végétal, de naturel, le salon se baignant de lumière naturelle à travers une magnifique fenêtre en arche.
Dans l’élégance du salon, le vaste miroir fait face à un large papier-peint panoramique. Ensemble, entre reflets et paysages, ils offrent une nouvelle perception d’espace et de profondeur.
Le salon prend place autour des courbures de la fenêtre, profitant pleinement de sa lumière naturelle.
Le paysage délicat du papier-peint et les tons doux qui l’entourent apaisent l’atmosphère.
Les soubassements clairs jouent un rôle crucial en reflétant la lumière naturelle tout en créant un contraste avec les parties supérieures, mettant ainsi en lumière les éléments graphiques.
L’ensemble contribue à instaurer un équilibre visuel subtil dans la pièce.
Le salon prend place autour des courbures de la fenêtre, profitant pleinement de sa lumière naturelle.
Le paysage délicat du papier-peint et les tons doux qui l’entourent apaisent l’atmosphère.
Les soubassements clairs créent un contraste avec les parties supérieures, mettant ainsi en lumière les éléments graphiques.
L’ensemble contribue à instaurer un équilibre visuel subtil dans la pièce.
La table en verre étire l’espace en donnant l’impression que la pièce est plus grande et moins encombrée.
Les chaises transparentes dessinent une atmosphère aérienne, ce qui permet de maintenir la sensation de légerté.
Elles se mêlent à la table de verre, fusion subtile où les meubles semblent s’évanouir, laissant la lumière jouer sans entrave, libérant l’horizon visuel.
Le bureau, élan hors des frontières de la chambre, se dresse, délimité par un soubassement plein et une verrière baignée de lumière.
Pour fusionner cette extension avec l’âme de la chambre, une cimaise tisse un lien subtil, mariant cette avancée à l’ensemble de la pièce.
Ainsi, elle l’accueille en son sein, l’intégrant avec douceur et naturel au cœur de la chambre.
Le bureau trouve sa nouvelle place là où s’étirait un long placard, à l’extrémité du couloir qui sillonne l’appartement.
S’étirant timidement sur la chambre, il adopte les teintes sombres de cet espace pour s’y fondre harmonieusement.
Niché au cœur de l’appartement, la verrière offre au bureau une lumière naturelle, une sensation d’espace qui permet de respirer au cœur de cette enclave, ajoutant une touche de profondeur.
La chambre s’épanouit dans la simplicité. Un papier-peint surligne le lit, répandant ses deux teintes en douceur dans l’ensemble de l’espace. La teinte plus claire domine la partie haute, élancée pour accentuer la verticalité de la chambre, tandis que la nuance plus profonde discrètement efface certains éléments.
Un dressing s’est glissé dans la pièce pour combler le manque cruel de rangement, s’étendant du sol au plafond, adoptant la teinte riche du décor pour se fondre avec discrétion.
Les tonalités en harmonie et le parquet contribuent à une atmosphère sereine, tandis que les matières douces des rideaux et du tapis réchauffent tendrement cet espace apaisant.
Le couloir, fidèle guide de l’appartement, a été redessiné avec soin. L’ancienne porte du placard, désormais transformé en bureau, accueille à présent un miroir qui étire élégamment la perspective. Une console aérienne semble nous inviter, nous guidant vers le salon.
La cuisine, généreuse de lumière, partage désormais ses rayons grâce à une verrière aux courbes délicates, écho aux arabesques qui l’habille.
Une nouvelle cimaise, soutenue par un papier-peint en soubassement, ravive le charme perdu que le parquet suggérait. Cette fois, la teinte la plus profonde se déploie vers le haut des murs, s’étirant jusqu’au plafond, jouant avec la perception de la hauteur.
Le couloir central s’enveloppe alors d’une atmosphère intime, tandis qu’un contraste saisissant met en lumière les hauteurs sous plafonds des autres pièces.
L’essentiel résidait dans le charme de l’ancien incarné par la porte, son encadrement et le parquet.
Ainsi, il était nécessaire d’habiller les murs lisses du couloir d’une cimaise et d’un soubassement tapissé résonnant avec l’esthétique d’autrefois, tout en préservant une touche de modernité subtile pour éviter tout écueil vers une atmosphère dépassée.
Le lit superposé sur-mesure se révèle être un précieux allié dans l’exploitation judicieuse de la généreuse hauteur sous plafond. Plutôt que de s’étendre horizontalement sur une surface plus étendue au sol, sa silhouette s’élève avec la verticalité de la pièce et libère ainsi un espace propice au travail et à une armoire de rangement.
Les soubassements clairs jouent un rôle essentiel en réfléchissant la lumière naturelle tout en instaurant un contraste subtil avec les parties supérieures, mettant ainsi en lumière le papier-peint et la teinte chaleureuse qui créera le lien avec l’espace dédié au sommeil.
Ce lit superposé crée un nid douillet, avec son éclairage dédié et une tablette s’étirant sur toute sa longueur, offrant ainsi la possibilité de personnaliser l’espace.
Les cordages en chanvre préservent le caractère naturel du parquet et des matériaux du mobilier ainsi que la dimension végétale du papier-peint. Ils servent de garde-corps tout en laissant entrer la lumière dans cet espace de repos.
Une cabane douillette où confort rime avec liberté, sans aucune sensation de confinement.
© Crédits photographies : Cyril Folliot
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